• Rien de tel, après une lecture sérieuse et quelque peu ardue, qu'un bon manga léger pour faire passer le temps ! Autant dire qu'un titre d'Arina Tanemura convenait tout à fait (je crois en plus l'avoir déjà lu par le passé, mais aucun souvenir ne m'est resté).

     

    Suivi de lecture #23

     

    The Gentlemen's Alliance Cross  ▌ Arina Tanemura  ▌ 2009  - Kana  ▌11 vol. (terminé)

    Hainé Otomiya est une jeune fille dynamique mais qui cache un douloureux secret. Adoptée par une famille très riche, Hainé a été "vendue" par son père pour régler ses dettes. Hainé entre dans une école d'élite où les élèves sont classés en trois catégories. Hainé est secrètement amoureuse de Shizumasa dit "l'empereur". Fortuitement, elle devient son gade du corps et entre ainsi au conseil des élèves. C'est le début d'une grande aventure : elle se retrouve plus près de celui qu'elle aime, mais également au centre d'une lutte pour le pouvoir!


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  • Une cinquième année en toute tranquillité

    Depuis hier j'ai dans la tête l'anniversaire de blog. Je ne retiens pas la date avec exactitude, me rattachant au fait qu'Halloween survient juste après. C'est aussi ce qui fait que je n'ai jamais réussi à publier le véritable jour de l'anniversaire du blog. Alors que je ne fais jamais rien pour Halloween... Le comble !

    Je me suis amusée à aller pêcher les anciens articles avec leurs dates de publication :
    Un an, le 3 novembre
    Deux ans, le 3 novembre
    Trois ans,  le 21 novembre (lui, il était vraiment en retard)
    Quatre ans, le 4 novembre

    On pourrait presque croire que la vérité se situerait le 3-4 novembre ! La vérité est d'une toute autre couleur. Le 28 octobre, aujourd'hui, est le véritable jour des débuts de ce blog. Anecdote amusante, j'ai réalisé cette année que la date coïncidait avec un anniversaire familiale !

    Que vous dire en cette nouvelle fête?

    Vagues Souvenirs fait partie de mon quotidien. Le mercredi un jour auquel je semble réussir à me tenir. Très souvent je regarde mon copain en lui disant "on est mercredi !", sous entendant que c'est une journée blog. Ha ha.

    Quand on en arrive au point où j'en suis, je crois qu'il n'est tout simplement plus possible de faire sans. J'ai pris des habitudes de lecture pour le blog, tel que relever des citations ou noter mes impressions, que je ne suis pas prête de perdre. Et j'aime ça ! En particulier les citations, j'en suis folle. J'adore ouvrir une page au pif et lire les citations du livre concerné. Ca m'inspire ! Ca me rend souvent le sourire. Ca s'imprègne. Ca me parle. Que de joie dans de simples mots ! D'ailleurs, j'ai depuis longtemps l'envie de m'amuser à vous (re)sortir des citations aléatoirement au gré de mes envies. La forme de l'article qui se verrait très court est encore en travail. L'inspiration n'est pas beaucoup là. Mais je divague !

    Je porte une grande affection à ce blog qui évolue avec moi. Je vous dois à tous beaucoup pour me suivre et m'aider à me façonner sur la toile. Et je suis tout aussi satisfaite de regarder à l'occasion les visites du blog. Malgré l'absence totale de publicité, votre présence est constante. Je ne pouvais pas rêver mieux. Vous êtes merveilleux !

     Merci de tout coeur d'être là cette année encore



    NB : Avec ce billet, j'ai appris qu'écouter du Disney est la chose la plus distrayante qui soit quand on veut écrire !


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  • Avoue que tu m'aimes !Bref #18

     Aya Oda  ▌2012 - Soleil  ▌5 vol. (terminé)

    Contrainte de mettre fin à sa carrière d’athlète, Oseki cherche un emploi susceptible de lui apporter l’adrénaline dont elle a besoin. Elle travaille dans une petite maison de disque mais compte bien la quitter. Son patron lui demande un dernier service : devenir l’agent d’un jeune artiste rock en manque d’inspiration. Elle ignore alors qu’il va lui falloir être très disponible pour exciter la créativité du jeune homme.

     

    Un Aya Oda dans toute sa splendeur. Avoue que tu m'aimes ! est un shojo tout ce qu'il y a de plus classique.

    Quand Taki annonce être amoureux de Natsumi, j'ai eu la même réaction que cette dernière : C'est n'importe quoi. Il ne l'avait aperçu qu'une seule fois la veille et ce fut le coup de foudre. J'ai fini par y croire à force de répétitions, tout comme Natsumi.

    L'histoire n'a rien d'exceptionnel et la tragédie amenée d'un coup m'a fait l'effet d'un cheveux au milieu de la soupe.

    Banal dans son genre, ce n'est qu'une série de plus dans l'océan shojo.

     

     

    Samurai Deeper KyoBref #18

     Akimine Kamijyo  ▌2001 - Kana  ▌38 vol. (terminé)

    Kyo est un ancien samouraï tueur reconvertit dans la pharmacie. Malgré toute sa bonne volonté et son désir de sauver et non de tuer ses mauvais instincts peuvent resurgir dès qu'il est menacé... Il rencontre Yuya, chasseuse de prime qui poursuit un but mystérieux et va l'accompagner.

     

    Je voulais faire une vraie chronique pour ce titre. 38 volumes, ça me semblait bien plus que suffisant pour avoir de quoi en parler. Seul bémol, je ne semblais avoir que du négatif à dire.

    En lisant ce shonen, j'ai pris conscience des traits de ce genre. Ils m'ont presque sauté aux yeux à mesure de ma lecture. L'ont-ils gâchée? Pas le moins du monde.

    J'ai particulièrement apprécié qu'il y ait une quête bien définie et qu'on s'y tienne. Le groupe ne tourne pas en rond à faire des arrêts un peu partout sans aucun rapport. La quête n'est pas non plus rallongée par l'auteur à mesure que la fin pointe le bout de son nez. Chose très agréable pour la lectrice que je suis.

    Je me suis également attachée aux nombreux personnages de SDK, tous autant qu'ils sont. Il n'y a pas de personnages foncièrement gentils ou méchants dans cette histoire. La limite est flou et il est facile de basculer d'un côté ou de l'autre selon les choix faits.

     

     

    Le Conte de la princesse KaguyaBref #18

     Isao Takahata - Studio Ghiblil  ▌2014 - Walt Disney

    Adapté d’un conte populaire japonais "Le couper de bambou", un des textes fondateurs de la littérature japonaise, Kaguya, "la princesse lumineuse", est découverte dans la tige d'un bambou par des paysans. Elle devient très vite une magnifique jeune femme que les plus grands princes convoitent : ceux-ci vont devoir relever d’impossibles défis dans l’espoir d’obtenir sa main.

     

    Princesse Sakura utilisait la légende de la princesse Kaguya dont je ne savais alors rien. Kiba-chan a réagi en évoquant le film produit par Ghibli, que j'avais mis de côté. Peu de temps après, je me retrouvais devant mon écran pour une soirée cinéma.

    Grande amatrice des oeuvres de Ghibli, j'avais laissé Le Conte de la princesse Kaguya de côté en partie pour son style graphique. Loin de ce à quoi j'ai pu être habituée, il est présenté dans un style de dessin façon ancre. Ce choix est pourtant judicieux quand on pense à l'ancienneté du conte qui est raconté. Le style conserve toute la tradition que l'histoire porte sans la dénaturer.

    Je me suis entièrement éprise de Kaguya. Grandissant peu à peu, une fois que la parole lui est acquise le film prend une toute autre ampleur de par ses pensées, ses réflexions, ses remarques et ses questionnements.

    J'ai aimé son esprit, ai compati à sa situation et ai pleuré avec elle. Je conserverai en mémoire ce film comme une magnifique poésie pleine d'émotions et d'enseignements.

     

     

    Le Garçon et la BêteBref #18

     Hosoda Mamoru  ▌2015 - Kazé

    Après le décès de sa mère, Ren, 9 ans, refuse de vivre avec sa famille éloignée et prend la fuite. À la nuit tombée, alors qu’il arpente seul les rues du quartier de Shibuya, il est interpellé par un étrange personnage encapuchonné… Sous la cape se cache Kumatetsu, une bête au corps imposant et aux dents aiguisées venue d’un univers parallèle au nôtre. Transporté dans ce monde fantastique peuplé de bêtes étranges, le jeune garçon va se retrouver à son insu disciple de cet ours tumultueux ! Il devra désormais apprendre à composer avec son nouveau maître au tempérament… bestial !

     

    Dans ma lancée cinéma, j'en ai profité pour regarder Le Garçon et la Bête dont j'entendais partout parler. Et c'est mérité !

    Je ne me suis jamais remise de La traversée du temps d'Hosoda Mamoru. J'avais été touchée par Les enfants loups Ame & Yuki. Me voici enchantée par Le Garçon et la Bête.

    J'ai complètement adoré la forte tête qu'est Ren et le lien qu'il construit avec Kumatetsu. Un lien que ni l'un ni l'autre ne voulait mais qu'ils sont bien contents d'avoir. Ils vont apprendre l'un de l'autre, se supporter durant tout l'apprentissage de Ren.

    Une belle histoire qui nous dit que les liens du sang ne sont pas les seuls qui soient et que chaque être humain recèle une part de ténèbre. Libre à chacun de la contrôler ou de se laisser emporter.

    J'ai passé un merveilleux moment en leur compagnie, touchée par les sentiments de chacun. Je remets le couvert n'importe quand !

     

     


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  • Le deuxième roman "sérieux" n'est autre qu'un classique de la littérature anglaise : Sa majesté des mouches. Récupéré abîmé pour trois fois rien, j'avais hâte de parfaire ma culture. Et quoi de mieux pour se faire que de le lire dans sa langue d'origine? Grande aventure dans laquelle je me suis lancée, je tiens bon et tourne les pages peu à peu.

     

    Suivi de lecture #22

     

    Lord of the flies  ▌ William Golding  ▌ 1996 - Faber & Faber

    Une bande de garçons de six à douze ans se trouve jetée par un naufrage sur une île déserte. L'aventure apparaît aux enfants comme de merveilleuses vacances : ils se nourrissent de fruits, se baignent, jouent à Robinson. Mais il faut s'organiser et, suivant les meilleures traditions des collèges anglais, ils élisent un chef... Un grand roman d'aventures, mais surtout un magnifique roman d'apprentissage de la vie en société avec ces règles et ses cruautés.


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  • Ayant évoqué mon obsession pour les carnets, il me semblait logique de montrer ceux que j'utilise pour le blog et ses à-côtés. Ils vivent avec moi, l'un d'entre eux étant systématiquement à moins d'un mètre de ma personne. Je ne laisse pas mes petits sans surveillance !

     

    À chaque carnet son utilité

    ▼ Le carnet blog

    Idées en vrac, bazar de croquis de thèmes ou de mises en page, capharnaüm de chroniques, pseudo-dictionnaire...

    Exclusivement réservé au blog, ce carnet contient tout le fouillis de ma tête le concernant. À la base prévu comme carnet de voyage, il a vite été recyclé au vue du consciencieux manque d'entrain dont je faisais preuve.
    Quand je prends la peine de relire les mentions et pages dépourvues du signe distinctif de la rayure signifiant la tâche accomplie ou inutile, je réalise à quel point je suis rarement allée jusqu'au bout de mes idées. Soit je ne vois plus où je voulais en venir, soit je trouve toujours l'idée bonne et la laisse sagement à sa place.

    J'aurais dû me fixer comme résolution de terminer ce que je commence plus souvent. Encore fallait-il que je prenne la peine de faire des résolutions.

    Comme le démontre cet article, les choses finissent par arriver ! Je vais pouvoir rayer une mention de plus du carnet...

     

    À chaque carnet son utilité

    ▼ Le carnet livres

    Exit les BD, mangas et toute autre lecture n'étant pas un roman ! Seuls ces derniers comptent.

    Mes livres ne sont pas que des romans. J'ai aussi de la cuisine, des sentiers de randonnées et des guides touristiques. Sauf que je ne chronique pas ces derniers, limitant donc le terme de livre à "roman".

    A l'époque, toute fin 2013, je trouvais mon choix logique. Aujourd'hui, je m'interroge. Je peux encore comprendre le fait que les livres soient à part pour des raisons de citations principalement. Mais pourquoi n'avais-je pas fait un carnet spécial manga? Je n'en éprouvais pas le besoin bien que ce soit ma consommation principale. Maintenant, je trouve ridicule de le faire pour un type de lecture uniquement.

    Il me sert pour conserver les citations que je relève quelque part ainsi que pour y mettre en quelques idées principales sur ce que j'ai pensé du livre, ce qui m'aide ensuite à rédiger la chronique. Je ne pars pas de zéro à me dire "Bon, qu'est-ce que j'écris sur ce livre?". De plus, je peux y laisser des spoilers sans que ça ne dérange personne !

     

    À chaque carnet son utilité

    ▼ Le carnet PAL +/-

    Inauguré cette année pour véritablement me rendre compte des fluctuations de ma Pile À Lire et accessoirement utiliser le petit carnet sur lequel j'avais craqué, j'ai été très amusée lorsque, quelques jours plus tard, je tombai sur le challenge Diminution de nos PAL sur Lecture-Imaginaire ! Drôle de coïncidence.

    J'ai tâtonné sur la forme, les deux premiers mois étant différents. Je pense avoir dorénavant trouvé ce qui me correspond. Je m'en rendrai davantage compte à la fin de l'année, si jamais j'y aurai apporté de nouvelles modifications.

     

    À chaque carnet son utilité

    ▼ Le carnet manga

    Depuis la rédaction manuscrite de cet article qui a lancé la réflexion sur l'injustice dont souffraient mes mangas par rapport aux livres, j'ai adopté un nouveau carnet dédié à réparer mes torts.

    J'ai eu beaucoup de mal à trouver mon bonheur, le plus difficile ayant été de trouver une couverture pouvant faire écho aux mangas sans en cibler un en particulier. Ma poupée japonaise rappelant joyeusement son pays, je pense avoir visé juste.

    Tout neuf, il ne contient pour l'heure que les deux derniers titres que j'ai lus. Je n'ai pas eu à me questionner sur la mise en page, suivant le modèle des livres, les citations en moins.

     

     

    Il m'en reste encore quelques-uns acquis gratuitement ou à prix réduits donc je ne sais encore que faire. Des idées?


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